Nouveau retournement de situation autour de la gifle reçue par Manuel Valls le 17 janvier dans les Côtes-d’Armor.
Alors que beaucoup de sites parodiques évoquent une bifle reçue ou un état de santé inquiétant – fièvre de 49,3°, c’est une toute autre vérité qui sort de cette rencontre charnelle entre les deux hommes.
En effet, suite à la baffe donnée par Nolan L., Manuel Valls aurait aussitôt sollicité le recours à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution, le fameux 49.3 si coutumier de l’ancien premier ministre.
Il souhaite faire adopter rapidement un texte de loi unique en France en se passant de l’aval du Parlement :
Après cette gifle reçue, j’ai compris qu’il fallait plus de dialogue entre le peuple et ses élus.
Il n’y a pas de raison pour que je sois le seul à donner de ma personne dans le dialogue social.
Aussi, j’ai décidé d’adopter une nouvelle loi permettant à tous les français de gifler notre cher Président de la République, François Hollande, s’ils le désirent.
Aucune sanction ne sera retenue à leur encontre, sous réserve qu’ils ne donnent qu’une seule baffe. Il faut savoir partager les bonnes choses.
L’annonce de ce nouveau 49.3 a reçu un écho très positif, autant au sein de gouvernement que du côté du peuple. Les premiers s’estiment ravis et soulagés de ne pas voir leur nom figurer au côté de M. Hollande. Quant aux 66 millions de français, cette nouvelle mesure d’exception a été accueillie comme un don du ciel et un cadeau de bonne augure pour ce début d’année 2017.
De son côté, Manuel Valls se félicite de rendre sa légitimité au peuple français et réfléchit à un cumul des mandales sans toutefois se prononcer pour le moment. D’autre part, selon de récents sondages, sa côte de popularité serait remontée d’un coup. Reste à savoir lequel.